Ile d'Yeu
L'Île d'Yeu est une île ou il est obligatoire d'y aller en bâteau.
Les départs se font des Sables d'Olonnes, de Fromentine ou de St Gilles Croix de Vie)
L'île d'Yeux se situe à 17km au large de la côte vendéenne.
l'Ile concentre sur ses 23 km² de terres émergées une grande diversité de paysages : longues plages et dunes côtières fixées par des bois de résineux ; côte sauvage aux falaises altières enserrant des criques de sable blond ; landes à l'herbe rase où frissonnent les armérias ; chemins creux sillonnant les combes et côtoyant les falaises ; bocage aux multiples parcelles où se nichent à l'abri des frondaisons de saules et de prunelliers et les maisons basses au toit de tuiles et volets de couleur.
Longtemps 1er port thonier de la côte atlantique, l'Ile d'Yeu voue encore à la pêche une place active, débarquant sur ses quais : bars, lottes, soles, turbots, dorades, merlus et autres barbarins qu'avoisinent les nobles crustacés. C'est un magnifique petite île ou l'on se déplace uniquement en vélo.
Au Sud, la Côte Sauvage, accidentée par des grottes secrètes et des petites anses encastrées, se coiffe d'une vaste lande rase et présente d'indéniables similitudes avec les plus belles franges du littoral breton.
Au printemps, mouiller devant le Vieux Château, au Port de la Meule ou devant le Port des Vieilles, vaut largement le charme et la quiétude des criques bretonnes les plus sauvages.
Au Nord, la côte se fait plus basse et alterne entre un littoral escarpé, au nord-ouest, et de vastes plages protégées, après Port-Joinville, qui introduisent les paysages Vendéens.
Tiraillées par cette double ressemblance avec la Le visiteur notera rapidement l'odeur des pinèdes, le climat insulaire, les blanches maisons de pêcheurs ou le caractère chaleureux de ses habitants confèrent à l'Île d'Yeu un doux parfum de méditerranée, qui se marie à merveille avec l'incroyable pouvoir d'attraction propre aux îles de l'Atlantique.
Histoire L'évangélisation de l'île au VIème siècle par l'établissement d'un monastère dédié à Saint-Hilaire marque le début de la mise en culture des terres et du défrichement de la forêt.